.jpg)
-AUTEUR BOURGUIGNON-
EMMANUEL MÈRE
Mes livres
Poésie, roman, philosophie, biographie, histoire, récit, documents, humour... les styles de mes ouvrages sont variés et offrent au lecteur une étendue de thèmes dans lesquels chacun et chacune pourra trouver son bonheur.
" Chacun de ses ouvrages offre une telle palette de dépaysement, d'émotion, de sensibilité, de poésie teintée de désinvolture, de critiques et de tendresse qu'on les lit, on les relit, on ne s'en lasse pas. Que ce soit une heure de rêve, de méditation ou de dépaysement chacun ouvre notre cœur, notre réflexion, nos sentiments et notre jugement sur un monde différent. "
(témoignage d'Annie L. 26/04/2013)
Quelques projets
de créations littéraires
à venir au fil du temps...
Roman, essai, fantaisie...
Une vie dédiée à l'écrit...
Le bicycliste
​
Le vélo est un plaisir simple et accessible à tous, qui ouvre l’esprit et agit sur le moral. Il est un réel facteur de ressourcement en nous aidant à prendre du recul.
Ainsi le vélo réenchante le monde, modifie le regard et transforme la perception des paysages.
Pédaler, c’est vivre une aventure. C’est être acteur de ses déplacements et redonner au monde ses véritables dimensions.
​
Dans cet ouvrage, tantôt autobiographique, tantôt historique ou encore tantôt philosophique, l'auteur parle de sa passion -le cyclisme- et tente de répondre à la double question : que va-t-on chercher dans le cyclisme et qu'est-ce que sa pratique nous apporte.
​
La vie, à-peu-près
​
Voici un petit livre rempli de calembours et de jeux de mots, ceux-ci portés au pinacle. Volontiers accapareur du sens premier des vocables, partageur, taquin, le narrateur a l’humeur folâtre tout au long de ses écrits, qu’il convient d’ingérer en étant sur la même longueur d’onde. Sous peine de dévitaliser l’iconoclaste existant. Dans des textes un peu loufoques qui qui regorgent de jeux de mots, l’auteur s’amuse à remplacer des mots par d’autres pour écrire de petites histoires. Il choisit un thème, le corps humain, le sommeil ou la musique, et tente de placer le plus de calembours possibles. Il insère des noms issus de ces thèmes en lieu et place de mots et verbes du langage courant. L’exercice de style est singulier. C’est parfois « à peu près » et capillotracté, mais les bons mots font mouche.
A l’aide de tours de passe-passe fouillés, et à force de cérébraliser à la sueur de son front, le géniteur biaise, reformule, détourne de leur fonction initiale, ou confère une ampleur à la valeur ajoutée. Déshabitués de leur zone de confort, les termes sont ainsi boutés hors de leur champ lexical. C’est frais, didactique, ludique, fantasque, rigolard même, et le remue-méninge de cette réécriture ne manque pas de procurer un bien ineffable. recueil plein d'humour, de charme et de fantaisie, à lire absolument !
L'enfant intemporel
​
Une envie de rencontrer « L'enfant intemporel » qui sommeille en vous ?
​
« Il était une fois un passionné de mots et d’habile versification qui a croisé un jour la route d’un musicien compositeur, fou de notes en cascades. Ensemble, ils eurent le projet d'aller chercher au fond d’eux-mêmes les parcelles d’éternité que la vie dépose en chacun de nous.
​
L’un a semé des rimes, l'autre des portées. Et le talent a fait le reste…
​
C’est ainsi qu’est né L’enfant intemporel, une comédie musicale intergénérationnelle portée par deux chorales chalonnaises, La Maîtrise Saint-Charles et Les Chanteurs Autonomes de la Maison des Seniors, soutenue par un ensemble de musiciens professionnels et la compagnie de danseurs hip-hop Tout Simplement Nous.
​
De la musique des mots à celle des notes, de l’enfance à l’âge adulte, le public est invité à effectuer un voyage poétique au cœur de son histoire personnelle et de sa vie en communauté. »
​
Une création d’Emmanuel Mère (auteur) et Merwan Djane (compositeur) pour un spectacle agrémenté d'effets visuels de Sylvie Meunier qui sera surprenant, émouvant, teinté de nostalgie et d'enthousiasme
Dans l'ombre des couleurs
" Il y a tant de choses entre le ciel et la terre que les poètes sont seuls à avoir rêvé ", disait Friedrich Nietzsche.
​
Pour son dixième recueil de poésie, l’auteur chalonnais invite le lecteur à une immersion dans un monde à l’abri de l’âge : celui de la nature. Un milieu qui offre une part d’imaginaire où, dans un langage de feuilles, de fleurs et de zéphyrs, sous les caresses de la rosée sur les lèvres, du soleil sur la peau et du printemps qui s’émerveille, le poète nous entraîne dans un processus créateur qui va de la nature à l’art pour revenir à elle en la magnifiant.
Avec une fluidité dans les rimes, Emmanuel Mère convoque le lecteur à se servir des yeux de l’âme dans une aspiration à des images nouvelles. Celles qui offrent à aimer la vie dans une évasion sur les rivages poétiques de l’auteur lorsque l’été au cœur nous offre un univers où la pluie n’est pas dans les yeux et la versification un vecteur du bien-vivre.
Les feuilles d'automne
" Qu’est-ce que la poésie ? Bien savant finalement celui qui apportera un élément de réponse valable. Qu’est-ce que l’âme au demeurant ? On peut évidemment constater chez l’homme toutes les manifestations spirituelles de la vie, les analyser et les décrire à grand renfort de superlatifs ; on peut -qui ne l’a fait- décortiquer un poème, étudier sa composition, son vocabulaire, le rythme, les rimes ou l’harmonie : toutes ces opérations sont à la poésie ce qu’un cœur qui bat est à l’âme. Une manifestation extérieure, non une exégèse, encore moins une réglementation."
​
Dans son ouvrage "Les feuilles d’automne", Emmanuel Mère revient sur trente années d’écriture poétique dans une anthologie référence qui explore, avec bienveillance mais sans concessions, l’âme et les sentiments, pour tracer un chemin de vie éclairé d’espoirs. Venus des tréfonds de l’âme, des vies qui s’y accumulent, ses mots alimentent l’imaginaire et mènent l’inconscient à la lumière, dans un voyage intérieur issu d’une sensibilité à fleur de peau. Au fil de poèmes qui se révèlent au-delà des mots, dévoilant aux cœurs les émotions secrètes et murmurant aux âmes les inquiétudes profondes, l’ouvrage se pose comme un nouveau compagnon de voyage poétique, pour de belles et douces soirées en perspective à écouter cette musique des mots.
4 SAISONS EN CÔTE CHALONNAISE
Natif de Chalon-sur-Saône, j'ai toujours vécu au cœur de la Côte chalonnaise. Non par choix ni opportunité, juste par hasard...
C'est là, dans ce territoire où se révèle un beau patchwork de paysages viticoles, de prairies et de forêts, lové entre nature et patrimoine, que je me suis construit, de l'enfance à l'âge adulte.
Explorant mon département natal sous toutes ses coutures, découvrant au hasard des grandes et petites routes ses trésors bien connus et ceux plus secrets, j'ai approfondi son passé, blotti entre mystère et connaissance, entre légende et authenticité. De quoi offrir, avec le photographe britannique Jon Wyand, une balade inédite sur les plus beaux coteaux de la Côte chalonnaise, magnifiant la vigne et les passionnés qui la cultive.
« 4 saisons en Côte chalonnaise » est un livre d’atmosphère, un ouvrage de vulgarisation qui permet de rentrer dans un univers quotidien que l’on oublie parfois même si on habite en Côte chalonnaise. Pour avoir des questions à toutes les réponses, et aller plus loin dans le questionnement. Ceci dans une invitation au farniente, aux promenades et à la dégustation.
Les caprices du lundi
" Ce qui est intéressant avec la poésie, ce sont le rythme, les images, la musicalité du texte, et le fait de synthétiser au maximum une pensée pour qu'elle soit la plus percutante possible. Surtout dans le cadre d'une vie amoureuse qui n'est jamais rectiligne, idyllique, avec des envolées matin et soir.
​
Les caprices du lundi, c'est une réflexion par rapport à nos expériences de vie, à nos bonheurs et nos chagrins, à nos espoirs et nos désespérances. Mais quelle que soit la hauteur du sentiment, de noblesse vêtu ou blotti dans la fange plébéienne, on n'en ressort jamais indemne.
​
Le poète est sa propre matière, il se nourri de la moelle de chacun, entre grandeur et décadence. Les caprices du lundi est alors un ouvrage destiné à personne en particulier, et à tout le monde en général..."
Voyage entre Saône et Loire
Terre de contraste, de spiritualité et d’harmonie, la Saône-et-Loire est un pays multiple, authentique et savoureux. Terre d’accueil et de passage, véritable pays de Cocagne, ce département vert et doux, gorgé d’eaux et traversé de charmants sentiers de randonnée, est un paradis pour les amoureux de la nature. On y musarde entre ses gras pâturages et ses riants coteaux, de ses forêts profondes jusqu’à ses horizons domptés par la vigne, entre cités de caractère et villages intemporels, à la découverte de la variété de ses régions naturelles, de la diversité des témoignages de l’Histoire, de l’abondance extrême du patrimoine artistique et de la force des traditions populaires.
Riche de milieux naturels préservés, nanti d’un patrimoine bâti exceptionnel qui saupoudre avec infiniment de charme tout le département, la Saône-et-Loire est une formidable terre d’exploration. De l’Autunois-Morvan, sauvage et secret, passant par le Charolais-Brionnais, opulent et lumineux, le Chalonnais aux visages variés, le Mâconnais-Clunysois, plutôt joyeux dans ses couleurs du midi, pour parvenir à la Bresse bourguignonne, bocagée et gourmande, c’est à un voyage inédit qu’Emmanuel Mère et Christelle Debarnot invitent le lecteur. Une excursion entre mots et images, entre vécu et sensations, pour goûter aux saveurs d’un territoire insolite qui, comme tant d’autres en la contrée française, recèle sa part d’élégance mais aussi de mystère.
​
***
Ouvrage réalisé
en collaboration avec
l'artiste-photographe
Christelle Debarnot
(alias S'tell Photographie)
Désintégration des abîmes
" Les plus désespérés sont les chants les plus beaux / Et j’en sais d’immortels qui sont de purs sanglots" , écrivait Alfred de Musset dans "La nuit de mai" (1835).
​
Avec ce recueil poétique, Emmanuel Mère dessine un portrait existentiel sombre et inflexible, mais qui nous fait voir tout ce qui est beau et positif dans nos vies. Dans une introspection lucide et honnête, sans compromission ni illusion, les espérances trompées d'un monde fait de tristesse et d’oubli, d’amour et de malheur, se découvrent dans leur nudité la plus crue.
Ecrire, c'est alors saisir l'âme du monde dans toute sa complexité et la questionner afin de comprendre et démystifier l'univers ténébreux de nos existences diaphanes... L'auteur livre ici une expérience personnelle, intime et puissante, pour nous aider à nous affranchir de nos vies et révéler à nous-mêmes...
​
"Un livre doit remuer des plaies, en provoquer même. Un livre' doit être un danger", écrivait Cioran. Avec "Désintégration des abîmes", Emmanuel Mère se met en question avec ambiguïté pour inviter le lecteur à se penser, pour mieux s'interroger entre passé et devenir.
Gaillardises
Habitué des romans, essais et autres recueils de poésie, Emmanuel Mère s’illustre dans un nouveau domaine : les jeux de mots et pensées humoristiques. Parfois simples, parfois très sophistiqués, les jeux de mots de l’écrivain balayent de nombreux domaines, de l’actualité à la vie de tous les jours, pour des pensées dans l’air du temps, histoire de trouver du temps à perdre pour rire un peu...
Demain est une autre vie
"J’ai toujours eu horreur des lendemains. Des journées programmées à l’avance, des obligations quotidiennes, des entrevues incontournables. Je leur préfère de loin la douceur de l’imprévu, la tendre compagnie de l’illusoire. Car il faut bien admettre que la vie n’est jamais qu’une succession de hasards agencés avec rigueur et méthode."
Ecrivain en vogue tombé progressivement dans l'oubli, Philippe Courtil est à une croisée des chemins. Va-t-il réinventer sa vie au risque de tout perdre, ou se complaire dans un quotidien aux tendances chimériques?
Les minutes de sable
Des mots qui alimentent l'imaginaire, fouillent l'inconscient et l'amènent à se révéler en pleine lumière, dans une sublimation des instincts. Une sensibilité exacerbée, à fleur de peau, pour un voyage intérieur qui dévoile à chacun sa propre vérité.
Des textes pénétrants, qui se veulent questionnement sur l'aspect futile de l'existence, une esquisse de la réalité entre sublime et dérisoire, beauté et imperfection, dans le raffinement des mots portés par une pensée imparable. Une sage prise de conscience sur la petitesse et la grandeur de l'homme.
"Mes rêves vous attendent et vos désirs m'émeuvent."
Un ciel de traîne
​
« Je m’appelle Pierre, et j’ai un lapin. La vie m’a posé un lapin. Un rendez-vous manqué avec l’envie d’être en vie. Une fêlure. L’existence, c’est un train qu’on prend la nuit dans une gare glaciale, et dont on ne sait où il nous mène. J’ai depuis longtemps compris d’où partait la route, mais je ne savais pas encore qu’elle ne menait en aucun lieu. Je vis depuis au milieu de nulle part. Et rien ne justifie ma présence ici. Pas plus ici qu’ailleurs, à vrai dire.
Ou quand la vie devient un roman où manque le vraisemblable… »
Ce roman, facile à lire, est source de méditation et de réflexions philosophiques. Et il est en même temps très poétique. Avec l'histoire, l'auteur met en valeur les petits bonheurs ordinaires de l'existence, la couleur poétique des décors ou bien cette vérité "qu'il ne faut jamais revenir aux endroits où l'on a été jadis car ils ne sont plus pareils"...
_JPG.jpg)
Carpe diem, ou l'éloge du bien vivre
​
En neuf traités simples et didactiques, voici présentée une étude des principes fondamentaux qui régissent l’activité émotionnelle de l’être humain.
Ici, page après page, la pensée vagabonde, s’adonne avec habileté à la méditation, s’exerçant à comprendre et interpréter l’univers intellectuel et sentimental de l’individu. Elle s’ingénie à analyser les mécanismes de l’affectivité et l’origine de la perception des sentiments.
Le tout avec une touchante désinvolture, beaucoup de sensibilité et de chaleur humaine.
_JPG.jpg)
Chants désenchantés
​
Il est faux de dire que tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes. L’égoïsme, l’indifférence, le renoncement permanent aux valeurs civilisatrices, sans compter les violences ou stupidités de tous ordres, sont les compagnons quotidiens de notre existence.
En ne ménageant pas les sensibilités, Emmanuel Mère nous brosse avec humour -et humeurs- un inquiétant tableau de notre société. Les portraits « au vitriol » ou bien « taillés à la serpe » sont alors criants de vérité. Sans annoncer toutefois le déclin, l’auteur nous invite pourtant insidieusement à nous interroger sur nos propres mentalités et notre vision, souvent restrictive, du monde contemporain.
A moins que ces petites fables moralistes ne soient en définitive qu’un appel au bon sens…
_JPG.jpg)
Une année de concerts à La Billebaude
Des paroles mises en musique, des notes qui jouent sur la gamme des mots...
Passionné de culture, d’amitié et de la vie en général, Bruno Fabris a, depuis de nombreuses années, initié en son auberge caf’ conc’ et bar à bières "La Billebaude", véritable antre du bon goût à la bourguignonne, des soirées-concerts toujours très diversifiées musicalement parlant. Pour la saison 2012, pas moins de vingt concerts ont ainsi été donnés, proposant un savant mixage entre nouveaux artistes et habitués des lieux, entre rock, blues, jazz, reggae, chanson française ou musique traditionnelle, pour plus de soixante musicien(ne)s chevronnés qui savent cultiver, eux aussi, la même sympathie que le maître des lieux.
Nous partirons d'ici demain
​
Une chronique des jours ordinaires en un temps qui ne l'est pas...
Etabli sur des documents authentiques et personnels, réalisé avec un souci de vérité historique et de précision, l’œuvre retrace ce que fut le parcours d'un combattant de l'ombre, égaré sur le front d'un des malentendus les plus meurtriers de l'Histoire.
L’ouvrage est alors plus qu'un simple témoignage épistolaire, certes troublant, sur le quotidien d'un poilu de 14-18, c'est le roman vrai d'une de ces innombrables petites histoires qui font notre grande Histoire. Un document où chacun pourra trouver une part de sa propre aventure familiale.
​
***
​
Ouvrage réalisé en ollaboration avec l'auteure Marie-Odile Goudet
_JPG.jpg)
Barrage sur Verdun
De tous temps les guerres ont mobilisé les ardeurs bellicistes des hommes et causé la peine de millions de femmes à travers le monde.
Traduction de son appétence pour la guerre de 14-18, Emmanuel Mère propose dans Barrage sur Verdun, une seconde lecture de la Grande Guerre au travers les lettres très détaillées de Claude Guillermet, appuyées par une somme de photographies réalisées par les soins de ce jeune poilu, ce qu’était la situation sur le front.
Appelé de la classe 1916, Claude Guillermet va découvrir la vie de ces millions d’hommes que la guerre a meurtri. Du secteur soissonnais aux portes de Verdun, de la trouée de Belfort aux combats de Flandres, voici le quotidien d’un artilleur caladois que la guerre éveille au seuil de ses vingt ans.
